Ma prostate et moi épisode 1
Je devrai, dois écrire un article(1) sur la prévention du dérèglement de la prostate à la demande d'amis. Il est vrai que je suis peu sollicitée lors de mes rendez vous sur ce thème précis aujourd'hui.
C'était sans compter sur les clins d'oeil de la vie.
Dans les bouchons, je recherchai une station radio pour patienter en musique, et là je suis tombée sur l'interview de M Alain CASSOURA, auteur du livre "Erectus, les pérégrinations d'un homme en quête d'érection", chez Flammarion. Et c'est ainsi que débute l'écriture :
"J'ai plus de 50 balais. J'ai mal de pas bander, et je cherche la lumière des cieux.
Mariés, ma femme et moi, nous nous aimons..."
Interpellée, conquise par ses propos et les questions de la journaliste, j'ai acheté le bouquin.
wow, magnifique cadeau. Un beau témoignage d'un homme médecin ostéopathe, qui se livre avec une sincérité qui émeut, parfois laisse sans voix.
Une belle déclaration d'amour à son pénis, à son corps.
"Que la connaissance de soi passe par la redécouverte de son propre corps et par l'abolition de tabous encore vivaces, trimbalés, entretenus malgré les apparences, au fil du temps, dans le non-dit collectif d'une société qui peut paraître désinhibée mais au fond ne l'est guère. Chacun, homme ou femme, devrait être invité pour mieux se connaître, se respecter, s'aimer, à toucher son corps et l'aimer…."
Un cadeau à s'offrir Messieurs, à partager avec amour avec son amoureux(se).
Bien des idées seront balayées pour un grand bien pour votre libido, le regard qu'on porte sur soi, sur l'autre
Mercy Monsieur pour ce beau présent.
Je suis ravie de lire, d'entendre de tels témoignages . Celui de Line Bolduc, lors de sa conférence
"Aimer sans se perdre", nous livre le même message, avec des mots simples qui résonnent tellement en moi.
Se choisir d'abord, Etre sa source d'amour
S'autoriser le bonheur, l'amour
Bonne lecture, je serai ravie de lire vos commentaires.
Prenez soin de vous, Vous le valez bien...
(1)Ma prostate et moi épisode 2, quand les hormones mâles se font la malle